"The Unity of 'Minus One'" - Mattéo A. Dutilleul

- Nom : Dutilleul
- Prénom : Mattéo Angel
- Âge : 10 ans
- Sexe : Masculin
- Nationalité : Française
- Occupation : Élève en classe de CM2
- Situation financière : Très modeste
- Autres : Ne vous fiez pas à son visage d'ange. Il n'est PAS pur.

- Surnom : Albireo officiellement, mais on l'appelle aussi le Cygne Noir ou le Prince.
- Miraculous : C'est un anneau. Un anneau en argent, avec une tête de cygne et cinq plumes gravées dessus. Il est trop grand pour Matt, alors il le porte autour de son cou avec un ruban rouge. Les plumes deviennent noires une par une avant la détransformation d'Albireo.
- Kwami : C'est un cygne, mais pas n'importe quel cygne. Un cygne noir. Il s'appelle Nikko, et se nourrit presque exclusivement de pain rassit.
- Capacités : La grâce est associée au cygne. Même si ce n'est pas vraiment une capacité, Albireo est toujours très élégant quand il avance. Il est capable de nager sur de grandes distances et également de voler. Il n'est pas plus fort, plus rapide (sauf quand il vole) que la moyenne, mais il est un peu plus agile.
- Attaque spéciale : "Thôt" - Ce pouvoir, c'est celui de la science infuse. Il n'est pas offensif, il n'est pas défensif. Quand Albireo l'active, il a accès à une infinité de connaissances ; il peut, en se concentrant, savoir exécuter à la perfection une tâche, connaître la bonne action à faire pendant un combat, pendant les cinq minutes avant sa détransformation. Les connaissances que le Prince utilise après l'activation de son pouvoir disparaissent une fois détransformé. Il a accès à toutes les informations lui permettant d'effectuer une seule et unique tache. S'il souhaite savoir quelque chose qui ne permet pas de réaliser ladite tache, il ne pourra pas.
- Costume : C'est presque une tenue de ballet. Une combinaison noire et satinée, avec un col de plumes noires. Il porte des gants en cuir noir. Dans son dos, des ailes intégrées. Elles sont repliées, et sont pourvues d'anneaux dans lequel il passe ses mains pour pouvoir voler. Son masque ressemble à ceux du carnaval de Venise, très détaillé, avec des plumes sur les bords et des décorations argentées. Etrangement, il porte aussi une couronne en argent avec une tête de cygne sur le sommet, d'où son surnom de "prince".
- Arme : C'est un lance-fléchettes. On dirait un vrai pistolet, il est hyper réaliste ! Mais il lance des fléchettes. De simples fléchettes. Elles piquent, peuvent faire mal si elles font mouche, mais pas vraiment blesser ni rien. Elles sont aussi très facile à esquiver, tellement elles sont petites. Du coup, Albireo doit trouver d'autres moyens d'arriver à ses fins. De plus, il y a un certain temps de latence entre deux fléchettes, ce qui ne facilite pas l'action.

Tu vois, ce gamin qui traîne dans les rues le soir ?
Ce gamin distrait pendant les cours ? C'est Mattéo.

Mattéo, c'est un gosse qui prend la vie comme elle vient, même si elle ne lui a pas fait de cadeaux. Toujours un sourire aux lèvres ou le nez dans son livre de contes, il accepte volontiers toutes les misères qui lui arrivent, et se contente de hausser les épaules quand on lui en parle.
Il a l’apparence de ce gosse détaché qui ne réalise pas ce qui lui arrive, mais en fait il comprend très bien. Il essaye juste de n’en avoir rien à faire.

Pourtant, Mattéo n’en a pas rien à faire. Il est très affecté par ce qui l’entoure, et se répète que ce n’est pas juste qu’il soit dans cette galère et pas les autres. Il pleure, tous les soirs, dans son lit miteux qui sent la moisissure, pour s’endormir malgré les cris incessants de ses parents.

Il est en colère contre cette société. Alors oui, il n’a aucune connaissance en politique, mais ce qu’il voit c’est que les présidents se succèdent et que rien ne bouge. Les gens comme lui, les pauvres, les malheureux, ils restent dans leur merde et personne ne fait rien pour eux. Il faut que cela change. Le monde a besoin d’un héros.

Et en héros, il s’y connait, Mattéo ! Bah oui, il adore les contes de fées et les comics américains, là. Les belles histoires où c’est toujours les gentils qui gagnent à la fin. Alors il a décidé, notre petit gars, qu’il serait ce héros dont Paris à tant besoin. Lui, du haut de ses dix ans, sera ce héros parfait. Il aidera les gens.

Dans son cœur, Mattéo défend de justes causes. Il œuvre pour le bien sous le costume d’Albireo. C’est un enfant avec un cœur en or, même si dans la vie de tous les jours on ne le voit pas. Il n’est pas aimé dans sa classe, on le traite de pouilleux, de crasseux, on lui répète qu’il pue et que ses vêtements sont sales. Il s’en fiche, parce que c’est vrai, et qu’il ne peut rien faire contre ça.

Mattéo ignore les autres. Il n’a pas d’amis. Il a des ennemis mais il s’en fiche. Toujours dans la lune, accroché à ses livres de contes, Mattéo est déconnecté du monde et à la fois parfaitement ancré dans la réalité. Très lunatique, il change d’humeur comme de chaussettes une fois qu’on a fait tomber son masque. Ce n’est pas très compliqué, Mattéo reste un enfant. Il est très facilement influençable et peut se briser comme une allumette.

Brisé, il l'est déjà. Ses parents le dégoûtent depuis qu'il les a surprit en pleine copulation, une nuit. Il est aussi tombé sur quelques pornos dans les affaires de son père. Et sa mère qui ne fait que boire et qui n'arrête pas de vomir dans le salon. Il ne peut plus les regarder en face. Ces gens sont dégoûtants. Il voudrait vivre ailleurs. Il a apprit que la vie n'était pas comme dans les contes de fée, qu'aucune fée n'allait apparaître pour lui sauver la peau. Alors il fait avec. Il s'amuse, des fois, à briser les rêves des autres enfants. Non, le père noël n'existe pas. Non, Princesse n'est pas un métier d'avenir que tu pourras faire quand tu seras plus grande.

C'est la vie, pas le paradis.

Mattéo, il court dans la rue après l’école pour rentrer chez lui. Ses parents n’ont pas de voiture, alors il doit rentrer à pieds. Comme d’habitude, ses parents se disputent quand il passe la porte. Sa mère a encore trop bu. Son père est encore trop fatigué. Les insultes fusent. Haussant les épaules, le petit garçon monte dans sa chambre et s’enferme, poussant le bureau contre la porte. Mais cette fois, quelque chose est différent.

Une petite boîte rouge et noire se trouve sur son bureau. Un cadeau de ses parents ? Non, ils ne feraient jamais ça. Surtout qu’ils n’en ont pas les moyens. Alors d’où vient-elle ? Aucune idée. Mattéo la prend, et va se coucher dans son lit. Il ouvre la boîte.

Dedans, un anneau argenté, avec un cygne gravé. Etrange objet. Le petit le passe autour de son annulaire gauche. Trop grand. Alors il le passe autour d’une vieille chaîne et l’attache autour de son cou. Et là, il apparaît. Le cygne noir.

Nikko.

Une tête plus grosse que le corps. Des ailes noires aux extrémités blanches. Un bec rouge au milieu de la figure. Les yeux de Mattéo s’ouvrent en grand.

« Bonjour. Je m’appelle Nikko. Je suis un Kwami. Tu as été choisi pour devenir un héros… »

Avant que la bestiole n’ai pu finir sa phrase, Mattéo poussa un cri de surprise et de joie entremêlées. Il commença à bombarder le Kwami de questions, sans même prendre le temps d’écouter les réponses. Puis le Kwami l’apaisa et lui expliqua tout. Enchanté, Mattéo vit cette nouvelle comme une porte de sortie de son univers sordide. Il allait devenir un héros. Pour le bien de la société.

Le premier combat fut laborieux. Mais en utilisant son pouvoir, Albireo réussi à se débrouiller pour capturer à coup sûr le civil akumatisé. Les louanges lui mirent du baume au cœur. Il était un héros, maintenant.

(désolée pour cette histoire courte et nulle, j’avais pas la foi *sors*)

- Prénom/pseudo : Sherlotta/Marion
- Âge : 17 ans
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- Autres : J'ai oublié cette partie alors je l'ajoute en douce,
voilà voilà *sors*